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- Et
le cochon
gruikera trois fois
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De
nouvelles et terrifiantes machinations infernales, des complots sans fin,
et des vilenies toujours plus vilaines nous attendent dans ce lieu de
débauche effroyable que sont les terribles Cours du Chaos !
Le premier habitant que nous y rencontrons est Mandor. C'est l'occasion
pour tous de se remémorer qui est Mandor au sein de la famille, ne pensez-vous
pas ?… Car nous avons ainsi le droit à de petits discours généalogiques
peu intéressants : qui peut en effet bien comprendre qui est qui, et qui
est le fils ou le frère ou la cousine de je ne sais quel oncle, tante,
papi, Morgenstern et autre animal dans cette famille. Alors le lien entre
Random et Mandor… "Yé m'en toumponne !" comme dirait Caine.
Nous laissons donc le célèbre Mandor à ses occupations généalogiques ("Mais
je ne suis pas généalogiste !!! Revenez !", crie-t-il… mais personne ne
le croit évidemment, et certainement pas moi) …quand je me rends compte
que Neige n'est plus là !! Je cherche partout, sous les tapis, dans la
cuisine ou dans la douche (des fois qu'elle y serait en petite - très
petite - tenue)…Mais rien ! Et c'est alors que je la vois revenir nonchalamment
d'une promenade ! Peau de Licorne ! N'aurait-elle pas pu prévenir ?! Des
gens s'inquiètent pour plus que ça merde ! Et c'est qui ça, lui le type
pas beau avec elle ?!!! Elle vient en effet de faire une ignoble rencontre
durant sa ballade, un nommé Despil, Chaosien de son état. Hum, méfiance…ce
type aurait-il la malveillance de s'acoquiner avec ma jolie Neige ?…Pas
bon…Foutredieu, ça va barder !!!!!!!
Pour me remettre
de mes émotions de la journée et préparer un plan anti Despil des fois
qu'il embêterait trop Neige, j'accepte le soir de dîner avec Mandor le
généalogiste (qui a aussi invité les cousins, je n'aurais jamais accepté
seul !). Il tente évidemment toujours désespérément de nous faire croire
qu'il a un autre métier, le pauvre hère ! Ah ! Ah ! Ah ! Qu'il est drôle
! Mais le plus intriguant, c'est qu'il nous demande d'avoir des relations
(???!!!) avec le cousin Karadriel qui n'est autre que son fils. C'est
vrai que ça fait un moment qu'on ne l'a pas vu celui-là. A se demander
ce qu'il peut bien faire de vil dans son coin ? Bon, si jamais on le retrouve,
je lui ferai coucou…
Autrement, la soirée qui suit avec Yarick et Lycia est des plus sympathique,
avec boissons alcoolisées au programme, en quantité. Surtout ne pas penser
à Neige et au type inconnu…glou glou…je suis malheureux…glou glou…bouhhhhhh…glou
glou…ah, ah, ah, la boisson, c'est trop bon !!! Yahaaaaaaa ! Groink, groink
!…glou glou…rôôôôôôôôôôhhhh…hips…Banzaiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!
Réveil… et ce maudit mal de crâne… et des sous-tifs
qui pendent partout ??!!! Qu'ai-je bien pu faire comme connerie…Bouaff,
tiens, je préfère me rendormir.
Re réveil… vite planquer les sous-tifs en Ombre.
Un peu plus tard,
un peu plus frais…je me remémore la veille, terrible journée pour mon
petit cœur (et mon foie aussi, mais bon c'est un autre problème). Je songe
surtout à Random à qui je devrai avouer ma gaffe, celle où j'ai fièrement
annoncé à nos amis Chaosiens que Brand n'était peut-être pas mort…Dommage.
Mais ce n'est peut-être pas si grave car a priori, Random soupçonne que
c'est le Chaos qui a fait revenir Brand de l'Abysse. Donc tout roule !
D'autres nouvelles peu réjouissantes nous arrivent toutes fraîches, comme
l'engueulade entre Random et Eric. Ce dernier, toujours aussi maudit,
se serait alors séparé de mon père et aurait pris la fuite (Ah, ah, ah
! Ridicule !). De même Random aurait reçu un colis où se trouvait la tête
de Caine. Cela devient dangereux par ici…
Mais mon cœur n'a que faire de ces petits faits divers sans lendemain…car
seule Neige, belle comme la neige, me donne des montées sanguines peu
orthodoxes en cette belle journée.
Le soir, un nouveau
dîner a lieu avec Mandor, qui se démène toujours comme un beau diable
pour nous prouver qu'il n'est pas généalogiste mais un simple sorcier
maléfique qui veut tuer tout le monde ("…Mais merde alors ! Je m'en contrefous
de la Généalogie vous entendez ! Lâchez-moi avec ça ! Je hais les généalogistes
et leurs maudits arbres ! Vous m'écoutez oui ?! Vous m'écoutez ?? !!!!
"). Ah ! Ah ! La bonne blague ! Sacré Mandor va. Mais ce qui suit me fait
cependant moins rire : Despil, le coquin à la sale face de rat égorgé,
est là, avec Jurt et Neige. Inévitablement, ce gueux de rat égorgé de
Despil me taquine, et quelques piques de trop finissent par une belle
prise de bec. "Ah, ah ! Foutredieu, petit roquet, tu vas mériter une juste
déconvenue !" lui dis-je alors en le provoquant en duel. Neige tente bien
de me retenir par d'émouvantes suppliques (qui me disent que cette gente
dame n'est pas si indifférente à mon sort…), mais le rat égorgé m'a définitivement
ébouriffé, sans compter qu'il me permet de montrer quelques sentiments
au grand jour pour ma dame éplorée. "Ci fait, le duel aura lieu séance
tenante, céans. Préparer vous rat égorg…paltoquet !".
Le sort en était jeté…
Rien à dire sur ce
duel…que j'ai gagné. Que pouvait en effet faire un rat égorgé face à un
homme avec une épée ? A part le mordiller de manière pathétique ? Ainsi
je suis venu, j'ai vu et j'ai vaincu. Je ne me retourne même pas pour
voir sa face défaite. Neige est partie en pleurs. Je suis un grand guerrier,
une grande âme moi. Je me drape dans mon honneur et accessoirement dans
ma cape, et relevant fièrement la tête, jette un regard de vainqueur à
l'assemblée…puis me retire de manière grandiose. Un héros est né. Moi.
Quelques temps après,
alors que je suis seul livré à moi-même et qu'en vaillant héros je lis
les derniers potins d'"Ici Ambre" et mate les jolies donzelles dans de
drôles de positions pas très naturelles des magazines de papa Random,
je reçois un contact d'Atout by Neige. "Oh Robin…qu'as-tu donc fait ?
Pourquoi es-tu si crét…preux ? Ne réfléchis-tu donc pas ? Ne suis-je pour
toi qu'un trophée que l'on brandit ?" "Oh non, ma Neige, belle comme la
neige, tout cela, c'est pour vos beaux yeux que je l'ai fait…". Il s'ensuit
un beau bazar romantique, un nouveau duel, mais de sentiments cette fois.
Et c'est pour moi une découverte fondamentale, à 50 ans : les femmes ne
sont pas comme les hommes. Je découvre aussi que Neige est une personne
très sensible, au point qu'à la fin, elle part en courant - peut-être
une nouvelle fois éplorée. C'est l'indécision totale…
Ah que la vie de héros est difficile…
Enfin
le lendemain, c'est le jour du départ avec Yarick et Lycia pour aller
dire coucou à Karadriel. Je ne pense plus à Neige pour le moment, des
gens attendent trop de moi pour que je me laisse emporter par ce genre
de sentiments. Le périple est rapide, Lycia est une redoutable voyageuse
d'Ombre. Faut dire qu'elle a de ces mollets depuis qu'elle prépare le
rôle de son prochain film, "Shrek 9" où elle incarnera la princesse Fiona
et ses high kicks dévastateurs.
Quand nous retrouvons enfin le lugubre cousin, c'est pour nous coltiner
une jolie séquence "j'suis étiré sur 16 mètres". Ce pauvre Kara est en
effet victime de Fiona, sa mère, et pas celle de Shrek, merci ! C'est
aussi un désespéré de la vie. D'une voix implorante et ridicule (il est
enroué ou quoi ?) il demande notre aide car apparemment être étiré sur
16 mètres n'est pas aussi fun qu'on pourrait le penser au premier abord.
Quelle chochotte !
Le problème, c'est qu'il est impossible de l'aider tant que plein de chiens
zarbis apparaîtront pour nous gêner. Le nombre de ces chiens ne semble
en effet pas connaître de limites, de drôles de pondeuses les produisant
en série. Et quand nous essayons de gicler les dites pondeuses, celles-ci
renaissent et pondent à nouveau…clair non ? Euh…est-on vraiment obligé
de le sauver le cousin là ? Ah malheurrrrrrrrrrrrrrrr…
Nous voilà donc condamnés à nous bouger les fesses et aller trouver quelques
guerriers pour killer les chiens. Le choix se porte sur mon Ombre personnelle.
Et là…oh malheurrrrrrrrrrr…j'avais tant mis de moi-même dans cette Ombre,
au point de m'occuper personnellement de la broderie des rideaux de bain
des dames, et comment la retrouve-je ??? Saccagée ! Par des hommes capuchonnés
en vert recherchant Eric ! Les maudits !!!!
C'est que ça devient le bordel cette histoire ! A n'y rien comprendre
! Surtout quand Yarick me dit qu'il a déjà eu affaire à eux lorsqu'il
recherchait son père.
…embrouilles, embrouilles…
Je passe donc fort mécontent un peu de temps à la reconstruction de Vernes.
L'occasion pour nous d'y découvrir que les deux elfes qu'on y avait déposés
ont subi quelques désagréments durant notre absence. La pauvre fille (celle
qui était très haute en psyché) est morte et l'autre (le vieux de son
vrai nom Ebroun) est en soins intensifs. Son rétablissement est cependant
des plus rapides par un changement favorable du cours temporel de l'Ombre.
Quel héros plein de compassion je fais !
Nous avons pris
nos guerriers, environ une centaine.
Karadriel est toujours là, encore assez étiré. Et en plus de temps qu'il
n'en faut pour le dire, le ménage est fait. La bataille achevée, nous
pouvons enfin accéder à lui dans de bonnes conditions. "Oh mes amis, je
suis si content…" "On est pas tes amis". Mais peu importe, il nous faut
écouter ses supplications : seul Eric pourrait le sauver apprend-t-on
…on va donc chercher Eric…qui tapait la discute avec Gérard le déménageur.
Ca tombe bien, ce dernier pouvant être utile, on prend le lot de deux
et les amenons aussitôt près du cousin. "Mais il ne faut pas le laisser
ici, il va rouiller !", fait Eric. Soit, nous utilisons donc les services
de déménagement Gérard pour transporter le décidément fort casse burne
cousin (il est très lourd mais le tonton Gérard est très fort).
Seulement, comme le dit le fameux proverbe ambrien "Quand tout va mal,
c'est que ça ne va pas bien", il décide de nous faire encore bien plus
chier, nous affirmant maintenant qu'il va crever (pendant le transport
à travers Ombre ) : "Mon père, je veux revoir mon père…pitié…". Nous appelons
donc Mandor, et ce dernier délaisse ses arbres généalogiques pour son
brave fils…lui redonnant ensuite forme initiale avec ses étranges pouvoirs.
Pas le temps de nous remercier pour tous les efforts que nous avons faits
pour lui. Telle une pathétique grenouille, il saute dans un trou noir
au sol : l'Abysse. Bon débarras.
Tout ça pour ça… quelle aventure…inutile ?
Nous revenons donc aux Cours pour recevoir tout de même un message sympathique
de notre ami Kara : une tache noire sur le lit. Mouaif…
Dodo…
Le lendemain, comme
nous ne savons pas quoi faire, nous rejoignons Mandor, au moins pourra-t-on
s'amuser à le taquiner…mais au bout de quelques heures de ce traitement
pourtant fort marrant ("Ah, ! Ah ! Le Généalogiste !"), il devient tout
rouge et se met en rogne. "Suffit, vous l'aurez cherché !" Et pan, il
nous attaque le bougre ! Quand je vous disais qu'il y aurait de diaboliques
machinations ! On ne peut plus faire confiance aux Généalogistes de nos
jours…"Ah ! Ah ! Ah ! C'en est fini de vous et de vos moqueries ! Vous
avez osé me traiter de Généalogiste et fait passer mon art de la sorcellerie
maléfique pour un ridicule passe-temps, je vais vous faire ravaler vos
insultes ! Caramba !"
Le vil menteur, susceptible en plus, nous tenait entre ses doigts crochus
: il m'avait enfermé dans une prison de cristal, Yarick était immobilisé
et Lycia se révéla être doublement l'objet de son attaque…tout simplement
parce que, dit-il, elle était la fille de Corwin (Mandor aime pas Corwin,
allez savoir pourquoi). Il mangea donc sa magnifique jument, ce qui fut
un terrible choc pour Lycia qui avait été élevée depuis toute petite avec
cette jument… "Noonnnn !…Elle était comme ma sœur et nous avions vécu
tant d'histoires ensemble…c'est grâce à elle que j'ai découvert les saveurs
du jus de carottes ou encore, que j'ai appris à me faire une queue de
cheval plus vraie que nature…bouhouhouuuuuuuuu…". Mais il était hors de
question de se laisser faire par ce minable remplisseur d'arbres. Après
maintes tentatives de défense, le cochon manqua pourtant d'y passer…tout
allait donc mal et semblait fini, l'ignoble complot contre le génial héros
de cette histoire allait arriver à son terme…quand vint Dworkin !
Le temps s'était suspendu…les deux hommes se maintenaient du regard…jusqu'à
ce Dworkin dise : "Ce n'est pas bien Mandor…ils sont encore jeunes, tu
devrais les comprendre !" Sur quoi il répondit : "Je suis un sorcier maléfique
! On ne fait pas chier un sorcier maléfique merde !" Dworkin ne se laissa
pas pour autant démonter par cette troublante réplique. Il fit la morale
à Mandor (sale traître !) à propos de l'équilibre des forces et tout ce
que l'univers recèle de vérités sur les jeunes princes ignorants comme
nous… Visiblement il le tenait par les burnes (au vu de la face contractée
et rouge de Mandor) grâce à quelque mystérieux pouvoir car l'autre ne
broncha pas une seconde. Une fois son discours terminé, il relâcha le
traître qui se téléporta aussitôt loin de nous et de notre courroux. Puis
Dworkin laissa planer quelques mystères dans l'air à propos de tout et
de rien, surtout de rien en fait, et s'en alla enfin, nous encourageant
à lui rendre visite un de ces jours.
Nous pûmes ainsi retourner en Ambre pour prendre un repos bien mérité.
En
Ambre, tout ne va pas pour le mieux depuis notre retour…Fiona n'est pas
contente du tout qu'on lui ait foutu en l'air son télescope tout neuf
! On a beau lui dire qu'il ne marchait pas, elle ne veut rien entendre.
La psychose s'installe donc au château. Aussitôt Lycia prend-t-elle son
bain qu'elle a l'impression qu'elle va être poignardée avec une carotte
taillée en pointe, la musique du film "Psychose" en fond sonore. Aussitôt
Yarick se met-il à danser dans la salle de bal qu'il se sent observé par
les terribles yeux ronds d'une chouette hulotte. Aussitôt que je m'endors
bourré, j'aperçois des orangs-outans multicolores enlever mon pantalon
pour tenter de me faire de terribles choses. La situation n'est plus vivable
et nous sommes sur le point de craquer quand Bleys nous offre sa protection
(une bague, une) contre les foudres de Fiona. Lycia et Yarick acceptent,
tout comme moi et chacun se retrouve donc avec une jolie bague qui représente
la tête de Bleys, de face, au sourire ravageur. Superbe !
Je contacte Neige et lui dis que je l'aime…
C'est tout.
La vie continue
donc au château. Nous paradons fièrement avec notre bague, il faut dire
qu'elle attire tous les regards ! Fiona passe parfois près de nous, l'œil
mauvais et inquisiteur, mais notre bague nous lui exposons et aussitôt
elle recule, s'énervant et se défoulant sur un chandelier de passage,
manquant de se casser le pied à chaque fois. Puis un beau jour, comme
il nous l'avait suggéré, nous nous décidons à rendre visite à Dworkin.
Son antre est comme dans les romans de Zelazni le type qui a repompé la
vie de nos aînés (Corwin est toujours très en colère) pour écrire son
histoire. Mais revenons en au célèbre bossu…car le bougre nous embrouille
royalement avec ses multiples personnalités, ses piliers, ses trucs cosmiques
depuis un bon quart d'heure déjà...Aussi ne retiens-je pas grand chose
de cet imbroglio, si ce n'est que Flora est très intelligente et que son
côté nunuche n'est qu'une couverture. Quand nous sortons de chez Dworkin,
il fait déjà nuit…GRUIIIIIIIIIIIIK !
Trêve de gruik,
reprenons ce journal frais et merveilleux…GRUUIIIIIK. Oh ! Ta gueule le
cochon, va chier ailleurs…. Baladons-nous dans le palais en rêvassant
aux futures tuiles qui vont me tomber sur la tête.
Un p'tit tour dans la ville d'Ambre en bas, une visite revigorante des
quartiers mal famés, une brève et réussie altercation puis retour dodo.
GRUIIIIIIK (3 fois déjà, ça ne peut pas continuer comme ça…faut que je
trouve une solution…)
Ah oui, j'oubliais, sur le chemin du retour, j'ai fait la connaissance
d'une charmante péripatéticienne qui me demanda de l'argent et me parla
des temps difficiles que le peuple vivait depuis que Random et Martin
gouvernaient… Je lui ai filé quelques sous et je suis rentré. Le peuple
a beau être malheureux, il lui faut pourtant comprendre que si le Roi
organise d'éclatantes fêtes avec leur pognon, c'est pour le bien de tous
et pour se la péter. Comment ne pas le comprendre alors ? (Le Roi, pas
le Peuple, je vous ai vu venir mécréants !).
Au château… les bonnes nouvelles sont enfin de la partie. Bleys nous annonce
avoir réussi à convaincre Fiona de nous laisser tranquille. Nul ne sait
pourquoi il nous fait ce cadeau, mais pour Fiona, il semble qu'il lui
ait offert une tapette à mouche géante. Cette dernière en effet tente
de se débarrasser de ces vilaines bêtes qui pullulent dans sa chambre
depuis un moment (sûrement une expérience ratée).
L'autre bonne nouvelle, c'est que les choses sont en train de changer
en Ambre : On parle en effet d'élections pour désigner un nouveau Roi.
Et le Peuple aurait une voix dans le compte. Ainsi ce dernier va-t-il
peut-être pouvoir mettre son nez dans les affaires de mon père …Voilà
qui promet !
A part ça, je passe le reste de la journée tout
seul.
Bon, vous aurez
remarqué que ce chapitre aura pris son temps pour justifier son titre,
mais le cochon a enfin gruiké trois fois ! Aussi, comme j'en ai marre
et ne trouve pas d'autres endroits pour y mettre fin (au chapitre et aux
gruiks), je le fais maintenant.
Voilà, bien à vous, et la suite au chapitre 5, avec toujours plein de
cochons dedans.
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