Mes joueurs bien-aimés offrent avec leurs journaux une permanence objective à certains scénarios que j'aimerais bien faire oublier, notamment ceux qui constituèrent toute la première campagne…Les esprits étaient bien flous, bien que motivés, et passer à un jeu de rôle sans dés et avec scénario a été difficile pour certains, et notamment pour moi, le MJ, que quelques semaines du Jdr "Dragon Ball" (nous étions jeunes !) avaient lourdement affecté au niveau de l'intellect.

Afin d'expier mes crimes de lèse-Random des premiers temps, ou d'aggraver mon cas, voici une petite nouvelle qui constitue ma première vraie expérience d'écriture. Eh oui, les journaux c'est pour les joueurs ! ! ! Pour une fois les faits prévus par le MJ ne seront pas déformés par la vision de ces derniers. Je profite de cette mise à jour St Valentin pour vous faire pénétrer dans le cœur d'un PNJ né d'une bonne (hum…) blague lors d'une campagne somme toute assez récente. Oui, le découpage et chapitrage de notre œuvre sont aussi laissés aux joueurs ! ! !

Comment ça ce MJ est un fainéant ? Pour quelques points de Psyché ou une version grobill d'un pouvoir, voire une basse vengeance ou un paquet de Kinder, mes joueurs vous avoueront que je suis un génie. Bon, venons en au fait, la nouvelle que je me suis engagé à écrire en une semaine à l'occasion d'un resto animé entre MJ et PJs : Le prénom "Galaad" est si répandu dans les histoires de SF, que je n'ai pas résisté, plutôt que de le reprendre tel quel, au jeu de mot pourri qu'il m'était donné de faire sans aller chercher trop loin…Seulement, après, il faut assumer ! J'assume.

Voici donc les premières aventures amoureuses écrites de Galaak l'utopiste et de son créateur.
Soyez indulgents à notre égard !

Avertissement à nos amis lecteurs:

Je tiens à préciser que les opinions émises lors de ces récits engagent uniquement la responsabilité de leurs narrateurs. Il ne s'agit en rien de textes visant à condamner telle ou telle catégorie d'individus ou de pratiques. D'ailleurs, ma jeune et charmante épouse ne m'a absolument pas taxé de misogynie ou d'intolérance à la lecture de ces misérables textes. Bon, il faut aussi dire qu'elle est l'un de mes PJs…

G. La Bocea, dit le Maître
Quatrième campagne


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